Tandis que l’Etat s’effondre en Afghanistan qui passe sous le contrôle des talibans, le fils du commandant Massoud, assassiné par Al-Qaïda en 2001, lance ce lundi un appel à la résistance dans la presse.Tandis que l’Etat s’effondre en Afghanistan qui passe sous le contrôle des talibans, le fils du commandant Massoud, assassiné par Al-Qaïda en 2001, lance ce lundi un appel à la résistance dans la presse.
Tandis que l’Etat s’effondre en Afghanistan qui passe sous le contrôle des talibans, le fils du commandant Massoud, assassiné par Al-Qaïda en 2001, lance ce lundi un appel à la résistance dans la presse.
Ahmad Massoud, fils du commandant Ahmed Shah Massoud assassiné en 2001 par Al-Qaïda, a appelé lundi ses compatriotes à le rejoindre pour résister aux talibans qui sont en train de prendre le pouvoir en Afghanistan, tout en pressant les « amis de la liberté » étrangers d’aider son pays.
Dans une tribune publiée par la revue française La Règle du jeu, fondée par l’écrivain Bernard Henri-Lévy, le fils du héros de la résistance antisoviétique qui lutta ensuite contre les talibans, affirme vouloir faire « sien » le combat de son père pour la liberté, alors que « la tyrannie triomphe en Afghanistan ».
« Nous sommes, Afghans, dans la situation de l’Europe en 1940 », écrit-il, dans ce texte citant Winston Churchill et le général Charles de Gaulle, pour plaider la cause de la résistance auprès des occidentaux notamment :
« Soyez, amis de la liberté, le plus nombreux possible à nos côtés. », déclare-t-il dans cet appel à soutenir la résistance adressé aux Afghans restés dans le pays, comme à ceux de l’étranger et aux occidentaux.
La veille, Ahmad Massoud qui dirige une formation politique baptisée « Front pour la résistance », « conjurait » Bernard Henri-Lévy « d’intervenir à Paris » pour obtenir le soutien de la France.