Le mouvement sportif reconnaît qu’il « doit faire sa révolution » alors que le triptyque sur lequel il repose depuis soixante ans – bénévolat, cotisations des licenciés, subventions publiques – est mis à mal.Le mouvement sportif reconnaît qu’il « doit faire sa révolution » alors que le triptyque sur lequel il repose depuis soixante ans – bénévolat, cotisations des licenciés, subventions publiques – est mis à mal.