« Je ne vois pas pourquoi je devrais m’en aller. Cela voudrait dire que je reconnais les faits que l’on me reproche », explique dans le « JDD » le patron de la FFR, qui a fait appel de la décision de justice prononcée le 13 décembre.« Je ne vois pas pourquoi je devrais m’en aller. Cela voudrait dire que je reconnais les faits que l’on me reproche », explique dans le « JDD » le patron de la FFR, qui a fait appel de la décision de justice prononcée le 13 décembre.