« A trop temporiser, les Européens risquent de laisser la situation géorgienne pourrir et le piège se refermer sur eux »

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A Bruxelles et dans les chancelleries européennes, on surveille de très près la température monter en Géorgie, où le Parlement vient d’adopter le projet de loi décrié sur l’« influence étrangère ». Mais sans savoir quoi faire pour éviter de revivre le précédent ukrainien, analyse dans sa chronique Sylvie Kauffmann, éditorialiste au « Monde ».

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